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19 février 2010 Pensée furtive Je me saoule de réalités pendant qu’ils organisent leurs illusions.
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17 février 2010 Note
La vigilance de ceux et
celles qui viennent s’égarer sur le site Totm est impressionnante... La
dernière faute de frappe a été signalée moins d’une heure après avoir été
mise en ligne. L'équipe Totm
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17 février 2010 Sens et nuances
Je vois autant de sens et de nuances dans l'Art que dans l'Homme.
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12 février 2010 Oups...
La rudesse des déserts n'a pas ménagé notre véhicule. Ce dernier doit subir quelques réparations. Ces petits ennuis mécaniques nous empêchent momentanément de poursuivre notre performance. Merci de patienter... :) L'équipe Totm
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29 janvier 2010 Le crayon et la musique de films se rencontrent en coulisses Instants de complicité avec Don Harper, compositeur de musique de films et chef d'orchestre, qui a associé ses talents à la réalisation du clip Off-the-Wall.
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26 janvier 2010 Rencontre
Rencontre la semaine dernière à Venice Beach avec la
chanteuse suisse Fannie Luescher.
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Photography: David Mang |
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23 janvier 2010
Impression
L'Amérique est belle.
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20 janvier 2010 Off-the-Wall
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20 janvier 2010 Le jour le plus long Cette fois, on a bien cru ne pas y arriver...
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15 janvier 2010 Un crayon dans le désert
La mise en ligne du clip
Off-the-Wall a suscité une vague d’encouragements à laquelle nous nous
sommes volontiers désaltérés.
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L'équipe Totm |
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11 janvier 2010 Off-the-Wall Mise en ligne de la vidéo Off-the-Wall.
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10 janvier 2010 Un crayon dans le désert |
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7 janvier 2010 Off-the-Wall
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3 janvier 2010 A Cœur Ouvert
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29 décembre 2009 De l'usage de la calandre (destins croisés) « J’allois presque tous les dimanches passer la journée aux Paquis chez M. Fazy qui avoit épousé une de mes tantes et qui avoit là une fabrique d’Indiennes. Un jour j’étois à l’etendage dans la chambre de la calandre et j’en regardois les rouleaux de fonte : leur luisant flattoit ma vue, je fus tenté d’y poser mes doigts et je les promenois avec plaisir sur le licé du cylindre, quand le jeune Fazy s’étant mis dans la roue lui donna un demi-quart de tour si adroitement qu’il n’y prit que le bout de mes deux plus longs doigts… » Jean-Jacques Rousseau, les rêveries du promeneur solitaire
« Le destin, comme les horloges, a un mouvement de balancier. A l'âge de 3 ans, Didier Mouron perd sa main gauche dans une calandre. Repasse le destin, 17 ans après. Comme pour se faire pardonner, il sublime dans la main droite de l'adulte les meurtrissures de l'enfant, réactive dans son imaginaire le vivier des narcoses. Et jaillissent sur le papier des mondes, point de fusion d'une sorte d'inconscient "bicéphale" ! » Marie-Paule Angel, Journaliste - Critique en Art
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Video 
J’ai
lu pas mal les auteurs du dix-huitième, du vingtième siècle ; entre deux
je sèche un peu. Je peux pas m’empêcher de penser qu’on se fout de ma
gueule à déployer tellement d’artifice autour du cœur que le cœur même se
dérobe, et se perd et ne se retrouve plus. Je parle des romantiques et
après encore ; je n’ai pas pour Baudelaire le respect qu’on lui accorde de
coutume, ni l’admiration, ni même l’envie : c’est faux, c’est plat, c’est
tout. Je ne suis pas des plagiaires, des imitateurs, des disciples de
l’horreur trempée dans le sucre, de la putréfaction en vitrine, de la
chaire malade et qui croule sous la pompe. J’ai pour le dix-neuvième
siècle beaucoup de réticence ; j’aime Flaubert, et encore, Bovary, je l’ai
dit. Il y a Zola aussi, mais à force on le connaît, il se trahit, il
ennuie ; l’intention est louable, le cœur y est, mais la magie ne s'opère
pas.
